jeudi 22 mai 2014

La Guerre injustice faite à la Libye

Le conflit en Libye était  basée sur un but bien précis, diaboliser et renverser Kadhafi pour des raisons purement financières afin d’ éviter que les monnaies pseudo-fortes du moment (euro et dollar) soient encore plus en danger.
Ne vous étonnez donc pas des mensonges, des informations de massacres de civils tus par nos médias ...
L’intervention de BHL dans l’engagement de la France en était  une preuve supplémentaire.


Voilà ce que les médias ne vous diront pas … sur la vie des libyens ...

A les croire, le peuple libyen ne supporterait pas de vivre aussi bien … une vie économique bien plus élevée que dans bcp de pays européens … dont la France.

Mais bon, la Libye a un grave défaut … la vie dans ce pays est bien trop idéale, pour BHL … faut donc y mettre fin !!!

1-L’électricité à usage domestique est gratuite !

2 - L’eau à usage domestique est gratuite !

3- Le prix d’un litre d’essence est de 0,08 

4- Le coût de la vie en Libye est beaucoup moins élevé que celui qui prévaut en France. Par exemple, le prix d’une demi baguette de pain en France est d’environ 0,40 Euros , tandis qu’en Libye il est de 0,11 € !

.... Etc ... et ainsi de suite, plus de deux douzaines de points positifs de la Libye que nous sommes loin d’imaginer ... ni même de rêver.
http://www.agoravox.tv/actualites/international/article/mobile-de-l-agression-envers-la-31372

Le cours du dollars est dépendant de l’offre et de la demande, plus y a de demande plus le cours augmente, plus les gens ont confiance dans le dollars.
Autrement dit vous devez d’abord acheter des dollars avant de pouvoir acheter du pétrole car les achats/ventes de dollars se font dans la monnaie de réserve internationale, le dollars.
Kadhafi en menaçant de vendre son pétrole en Or (Gold Dinar) aurait tout simplement diminué drastiquement la demande en dollars, ce qui aurait eu des répercutions sur le cours du dollars, provoquant sa chute et accélérant la chute du système monétaire actuel.
Pour rappel, le dernier chef d’état ayant menacé de vendre son pétrole en Or est Saddam Hussein.

mercredi 21 mai 2014

QUI CONTRÔLE VRAIMENT L’AFRIQUE ?


Afin de bien évaluer les responsabilités des principaux acteurs qui maintiennent l’Afrique dans la situation peu enviable où elle se retrouve aujourd’hui, il est essentiel dans un premier temps de mettre sur pied un organigramme fiable de la structure mondiale de prédation.
Mais comme l’objectif final naturel de tout africain est de proposer des voies de sortie de notre état actuel, il est aussi nécessaire dans un deuxième temps de bien comprendre le système, ce qui bien sûr sous-entend les mécanismes qui nous maintiennent enchaînés. En effet, il est difficile de déconstruire de façon efficace et définitive un édifice dont on ne maîtrise pas  à la fois l’architecture et la mise en œuvre.
Nous prendrons pour modèle, un organigramme avec 4 niveaux de responsabilités.
  1. Les commanditaires et sponsors c’est -à -dire ceux qui financent les opérations.
  2. Les architectes (c’est-à-dire ceux qui conçoivent, planifient, et recrutent les exécutants), les facilitateurs et les complices.
  3. Les exécutants et les organisateurs sur place.
  4. Les hommes de mains et les bras armés.
En tenant compte du fait que les personnes des chefs d’Etat africains monopolisent le débat politique sur notre continent, nous allons modifier l’ordre de développement de notre analyse et commencer d’entrer de jeu par le niveau 3. En effet, c’est à ce niveau (des exécutants) que se retrouve la quasi-totalité de nos présidents, et même la majorité des leaders politiques de ce monde.
Les dirigeants Africains: (des exécutants de moindre envergure)
C’est la catégorie la plus exposée et visible car c’est elle qui traite directement avec les masses africaines; il est dont  logique que la plupart des critiques leur soit destinées. Il faut reconnaître qu’ils le méritent dans une très grande mesure, et à plus d’un titre. La majorité d’entres-eux est arrivée au pouvoir par usurpation et souvent au prix de l’élimination des vrais nationalistes (une élimination programmée au niveau 2 de l’organigramme, les architectes). Ce qui justifie d’une certaine façon qu’il leur soit reproché un manque de patriotisme, de vision, de force de caractère et d’engouement au travail.
L’on a également raison de mettre à leurs comptes la corruption et tous les maux qui vont avec,  à savoir: la mauvaise répartition des richesses qui deviennent d’un côté la propriété privée d’un clan, alors que de l’autre, la misère et le désarroi deviennent la réalité existentielle de la majorité du peuple dans l’indifférence apparemment totale de la petite classe des privilégiés. Comment en effet comprendre qu’en 50 ans, l’on n’ait pas réussi à régler les problèmes de mortalité infantile, et d’eau potable, pour ne citer que ces deux, alors que le montant des détournements suffirait largement à couvrir les dépenses nécessaires  à la résolution de ces  deux problèmes, et de bien d’autres encore.
Suggérer que la situation de nos pays serait exactement la même si les nationalistes étaient au pouvoir n’est pas non plus acceptable, sinon comment justifier tout le mal que les prédateurs se donnent pour justement empêcher que ces derniers accèdent au pouvoir? N’insultons pas la mémoire de ceux qui ont préféré mourir dans le combat plutôt que de signer des accords scélérats qui donnent le contrôle de nos ressources naturelles et humaines à nos ennemis.
Nos opposants semblent  ne pas valoir mieux que nos dirigeants actuels; pratiquement aucun d’entre eux n’ose dénoncer les accords de coopération inégaux, ou au moins en porter le débat sur la place publique. La société civile devra d’ailleurs montrer plus de vigilance à l’égard des personnes qui par ambition politique ou pourquoi pas, par opportunisme envisageraient de briguer un mandat électif, sans donner en contrepartie la garantie d’un patriotisme sans faille. Un test d’authenticité devrait désormais leur être imposé. Tout candidat devrait dorénavant se prononcer très clairement sur les questions cruciales de souveraineté.
Malgré tout ce qu’on peut dire de nos chefs d’Etat, il serait réducteur de faire d’eux les seuls responsables de nos malheurs, en effet, ceci reviendrait à minimiser le problème, ou à ne pas bien le saisir dans sa profondeur. C’est justement l’erreur que commettent en toute bonne foi beaucoup de personnes qui négligent de monter assez haut sur l’échelle des responsabilités. Ceux qui, dans la zone franc, se donnent la peine de regarder au delà de nos dirigeants corrompus, trouvent en général un coupable tout désigné : la monnaie.
Bien qu’il faille reconnaître que la monnaie constitue un gros problème en vertu duquel tous les pays de la zone franc sans exception sont entièrement hors-sujet sur les questions de souveraineté, la réalité nous apprend quand même que le problème est plus sérieux que cela. A ce niveau, il nous semble approprié d’illustrer notre pensée avec un exemple concret.
L’exemple d‘un pays qui bat sa monnaie: le Ghana
D’après les rapports du département d’Etat américain, le Ghana a connu une croissance de son PIB de 14% en 2011, et cette croissance se maintient au dessus de 7% depuis lors. D’ailleurs le FMI classe le Ghana 7e parmi les pays qui connaissent une croissance économique rapide. Le Ghana connaît également une stabilité politique, et ce pays est réputé être assez bien géré, la criminalité y est faible, les salaires compétitifs, le système éducatif parmi les meilleurs en Afrique.
Le Ghana a également sa monnaie (le cedi), et en plus l’on y a découvert d’énormes réserves de pétrole, ce qui en théorie lui offre de brillantes perspectives d’avenir. Bref côté jardin, le Ghana a tout pour réussir. Mais cela n’est vrai qu’en apparence, dès que l’on se tourne du coté cour, la réalité devient toute autre.
Bien que ce pays émette sa propre monnaie à travers sa banque centrale (Ghanaian Central Bank), les  banques intermédiaires entre cette banque centrale et le peuple Ghanéen sont pour la plupart contrôlées par un capital étranger et notamment occidental, et cela a de graves implications:
  • Ce sont les étrangers qui finalement décident des secteurs dans lesquels investir et à quelle hauteur le faire, et par là déterminent le niveau et les opportunités de développement du pays.
  • Les Ghanéens se plaignent d’ailleurs du faible taux d’accès au crédit. Dans le secteur agricole par exemple, ce sont les Libanais et d’autres étrangers qui bénéficient des plus grands crédits donnant du même coup le contrôle du sol aux non-ghanéens.
  • La majorité des bénéfices dégagés par ces banques et les entreprises étrangères s’évapore vers d’autres cieux et n’est pas réinvesti sur place, ce qui crée une balance de paiement négative pour le gouvernement ghanéen, qui finit par ne pas avoir d’autres choix que de recourir à l’emprunt auprès des institutions internationales pour financer des projets utiles à la population.
En clair, malgré l’apparente vitalité de son économie, le Ghana est en fait entrain de s’appauvrir et de s’endetter. Les déficits fiscaux battent des records, et l’économie est sous pression à cause de la menace d’inflation, c’est l’une des raisons pour laquelle l’agence de notation Fitch a revu à la baisse la note du Ghana qui se retrouve maintenant avec un ‘B’. Les 10% que le pays perçoit sur son pétrole vont bien sûr aider, mais ne parviendront certainement pas à renverser la vapeur, tant que la configuration bancaire ne sera pas entièrement modifiée, et cela est une autre paire de manches.
Changer la configuration du circuit bancaire et mettre en place un cadre réglementaire stricte qui serve en priorité nos intérêts ne sont pas que des problèmes Ghanéens, ce sont des problèmes Africains qu’il sera très difficile de résoudre, car dans l’ombre, Il y a des forces qui veillent, et ces dernières n’ont pas intérêt à ce que ce problème soit résolu. C’est en vertu de ce contrôle de nos banques que le mot d’ordre : « développement zéro pour l’Afrique » tient encore, et que tous les secteurs clés de nos économies échappent à notre contrôle.
Pourquoi les banques sont-elles aussi importantes ? Nous laissons à Henri Makow le soin de répondre à cette question: « Les banquiers contrôlent les plus grandes corporations au monde, les medias, les services de renseignement, les ‘Think tanks’, les fondations, et les Universités. » Quelqu’un serait même tenté d’ajouter aussi les « terroristes ».
Puisque les banques sont aussi importantes, l’on doit donc se poser la question de savoir à qui elles appartiennent. Tenter de répondre à cette question va nous emmener fatalement à comprendre comment le monde fonctionne réellement.
Les maitres du monde (les commanditaires et sponsors)
Le sénateur américain Dick Durban a dit : « les banques constituent le lobby le plus puissant à Capitol Hill (le Congres americain), très franchement, Ils sont les propriétaires des lieux ». Ajoutons à cela la déclaration de Zbigniew Brzezinski  « les peuples, les gouvernements et les économies de toutes les nations doivent se mettre au service des besoins des banques et des corporations multinationales. »*
Or une poignée de  grandes banques dominent l’économie du monde: les 4 grandes banques américaines: Bank of America, JP Morgan Chase, Citigroup et Wells Fargo, de concert avec d’autres grandes banques comme Goldman Sachs, et d’autres puissantes institutions européennes sont propriétaires des quatre plus puissantes compagnies pétrolières du monde à savoir Exxon Mobile, Royal Dutch/Shell, BP Amoco et Chevron Texaco. Ce n’est pas tout, les familles qui possèdent ces banques contrôlent également la réserve fédérale (banque centrale des Etats-Unis) et ses 12 branches, et à ce titre sont les propriétaires du dollar (qu’elles battent et vendent au gouvernement fédéral américain).
En plus de tout ce qui a été précédemment cité, à travers leurs banques, ces mêmes  familles contrôlent  également toutes les places boursières qui comptent,  et aussi des corporations comme Microsoft, Boeing, Caterpillar, General Electric, General Motors, Coca-Cola, McDonald.
Ce sont ces familles qui ont créé la BIS (Bank of International Settlement), la plus puissante banque du monde. Elle contrôle  la quasi-totalité des banques centrales privées en Occident et des pays émergents. Rien ne peut leur échapper car comme on le sait, le dollar est la principale monnaie des échanges commerciaux.
Comprendre les intentions des vrais propriétaires de ces banques, et identifier les institutions qui leur sont associées nous permettront d’avoir une lecture plus précise des événements qui se déroulent dans le monde, et une meilleure compréhension de la structure des institutions internationales et de leur véritable raison d’être.
Que veulent au juste les propriétaires de ces banques ? En d’autres mots que veulent les Bilderberg, les Lehman, les Rockefeller, les Rothschild, les Warburg, pour citer quelques-unes de ces familles ? La réponse est simple: le contrôle complet et pour l’éternité de l’économie du monde.
Et comment comptent-ils pérenniser leur hégémonie ?
En recrutant des hommes de main de haut profil, en s’associant, créant et finançant d’autres institutions puissantes et en contrôlant de grands groupes médiatiques. D’ailleurs aux Etats-Unis 6 grands groupes contrôlent la quasi-totalité des médias. Time Warner, Walt Disney, Viacom, CBS corporation, et NBC Universal sont leurs propriétés. Sans oublier les ONG (y compris les organisations des droits de l’homme) et les fondations les plus importantes.
Les hommes de main (planificateurs et recruteurs)
Parmi les personnalités de haut profil qui sont au service de ces familles, l’on peut citer l’ancien président des Etats-Unis Georges H. Bush, l’ancien conseiller à la Sécurité nationale américaine Zbigniew Brzezinski (mentor du Président Obama), le milliardaire George Soros, et bien entendu les anciens Secrétaires d’Etat Georges Schultz et Henri Kissinger. D’ailleurs, en rapport avec problème Ivoirien, l’ancien membre du Congrès Américain Cynthia McKinney rapporte qu’elle a reçu un coup de fil d’Alassane Ouattara que son staff a identifié comme provenant du bateau d’Henri Kissinger…
Mais pour que le système puisse bien fonctionner, il faut non seulement mettre en place une logistique puissante, mais aussi s’attacher les services des complices au dessus de tout soupçon.
Les complices et les institutions du pillage
Au nombre des institutions auxquelles ces familles se sont soit associées, soit ont sponsorisé la création, l’on retrouve:
  • Le Vatican qui a des actions qui s’élèvent à des milliards de dollars dans les multinationales comme Shell, General Motors, General Electric, et a massivement investi chez les Rothschild.
  • Christian Coalition dont Georges W. Bush fut Président d’honneur. Ils ne sont pas étrangers à la prolifération des églises dites de "réveil" en Afrique.
  • Des sectes et sociétés secrètes comme le club de Rome, Illuminati, the Chatham House, the Pilgrims Society, the Club of the Isles et surtout le Committee 300, qui d’après le Dr. John Coleman est la plus puissante société secrète au monde et qui compte parmi ses membres la Reine de Grande Bretagne, et presque toutes les têtes couronnées d’Europe.
  • Le très puissant CFR (Council of Foreign Relations) qui d’après G. Edward Griffin est plus puissant que le gouvernement américain. C’est d’ailleurs de ce conseil que sont issus non seulement ceux qui dans tous les gouvernements américains occupent les postes les plus importants, mais aussi la quasi-totalité des  présidents de la banque mondiale.
  • La Trilateral Commission qui est organisée de la même manière que le CFR, à la différence que l’adhésion à ce groupe est étendue à l’Europe de l’Ouest et au Japon.
  • The Round Table Groups qui contrôle les Universités d’élite, la presse, et les institutions internationales comme les Nations Unies, le FMI, la banque Mondiale, et la Banque Centrale Européenne, sans oublier l’OMC et la dernière trouvaille, la CPI.
  • Les très familières officines de recrutement de l’élite africaine que sont Rose-Croix et Franc-maçonnerie viennent compléter le tableau.
Une fois le décor planté, l’on peut commencer à comprendre comment la scène se joue en Afrique, et à en tirer des conséquences. Il convient tout de même de préciser que ces groupes opèrent avec des règles très strictes, l’une d’entre-elles étant la répartition des zones d’influence, c’est d’ailleurs la violation de ces règles qui a souvent été la source des grands conflits.
La mécanique en Afrique (le déploiement de la machine)
D’aucun diront et à juste titre que l’Afrique n’est pas la seule cible, et se poseront par la suite la question de savoir pourquoi nous sommes ceux qui semblent le plus à en souffrir. La réponse à cette question a plusieurs volets.
Premièrement, il faut déjà remarquer que l’Afrique est le continent qui regorge le plus de matières premières, et à ce titre, sera toujours au cœur de toutes les convoitises. Deuxièmement, que les maîtres du monde se sont déjà frottés aux prolétaires européens, et savent très bien que ces derniers ne badinent pas avec leur bien être matériel, et que par conséquent, trop les acculer peut troubler l’ordre public dont ils ont besoin pour la bonne marche de leurs affaires, et même devenir mortel : des têtes de plusieurs familles royales ont été coupées pour avoir poussé leurs peuples à bout. Troisièmement, l’africain de part sa culture est comme prédisposé à la chose spirituelle, ce qui le rend vulnérable au langage religieux. Ajouter à cela le lavage de cerveau historique qu’il a subi en plus du matraquage médiatique et éducatif quotidien, l’Africain est d’une indolence et d’une passivité incroyable face à ses vrais ennemis, mais doté d’une violence extrême face à ses propres frères.
En Afrique les scénarios sont bien connus; l’on recrute aux travers des officines bien rodées des pions que l’on installe au pouvoir et dont la mission consiste entre autres choses à brader toutes les matières premières et les terres arables.
Les prédateurs prennent alors le contrôle des banques, et si d’aventure il venait à l’esprit d’un sous-fifre l’idée saugrenue d’opposer la moindre résistance à leur voracité insatiable, ils vont immédiatement lui créer des problèmes de trésorerie. Le rebelle est donc poussé de force dans les bras des bailleurs de fonds, qui exigent des privatisations qui ciblent des secteurs productifs et des compagnies rentables. Le têtu n’a en général pas beaucoup de choix, car sans privatisation point d’argent, et connaissant le désordre que cela peut générer, il finit par se plier.
D’ailleurs, les pays très appréciés des prédateurs internationaux sont ceux qui pour la plupart maintiennent un « climat favorable aux affaires », ce qui signifie surtout que ceux-ci bradent les sociétés d’état rentables par voie de privatisation et les font avaler dans le processus par les grandes firmes qui appartiennent à ces mêmes prédateurs, une vieille recette que nos dirigeants connaissent pourtant.
Pour de vrais récalcitrants, l’on fabrique une rébellion que l’on arme jusqu’aux dents, l’ONU que ces maîtres du monde ont infiltré et maîtrisent, se charge de la légitimer et entérine une intervention militaire et le « rebelle, antidémocrate, et bourreau de son propre peuple» est balayé ou alors coffré à la CPI.
Comme résultat, les prédateurs contrôlent au moins 80% de nos économies. Il est donc logiquement impossible de penser qu’un groupe qui se taille la part de lion de nos économies puisse être ignoré lorsqu’on cherche la source de notre misère, ce d’autant plus que ce groupe ne réinvesti  surplace qu’une très infime partie des gros bénéfices dégagés.
A la vue de l’ampleur du problème, l’on aurait tendance à se décourager et à penser qu’il n’y aurait pas de solution, que l’adversaire est trop fort. C’est vrai que l’adversaire est puissant, et c’est la raison pour laquelle il faudrait déjà s’accorder sur le fait qu’il n’y aura pas de solution facile, et qu’une bonne connaissance de l’organisation du monde est nécessaire.
Mais l’histoire nous apprend que des empires en apparence inébranlables ont fini par tomber, à l’instar de l’empire romain qui a reçu son coup de grâce des mains des barbares, et l’ironie de l’histoire voudrait que ces derniers aient réussi ce coup de maître parce qu’ils étaient des illettrés et ne sont donc pas tombés dans le piège de la propagande romaine qui exigeait que l’on sache au moins lire.

mardi 13 mai 2014

LA PSEUDO MENACE ISLAMIQUE EN AFRIQUE.

LA PSEUDO MENACE ISLAMIQUE EN AFRIQUE.

13 mai 2014, 12:27
 Il ne se passe pas un jour sans que les médias occidentaux nous pourrissent les oreilles et nous inondent des images d'horreur made in Africa car nous aussi sommes dans le collimateur d'al Qaïda .Tantôt c'est Boko haram ou Ansar din ou même mieux encore Mokthar ben Mokthar  qui est encore vivant malgré la confirmation de sa mort par le Tchad et la France.....
 Avons-nous pris le temps de réfléchir un peu sur tout ça , je pense que non car en poussant un peu notre raisonnement on comprend que tout cela n'est qu'un fond de commerce Israelo-Anglo-saxon-Français dans le but de garder la majorité des pays Africains dans leur sphère d'influence.

 Notre continent a été épargné par ce genre d'action meurtrière jusque dans les années 1990, quand la politique Américaine changea vis à vis de l'Afrique.

 Les Américains éprouvait une soudaine envie de prendre pieds en Afrique quit à évincer la France et à chambouler les équilibres continental, c'est d'abord l'Algérie qui fera les frais en premier à cause de son gaz et pétrole que les Américains convoitent jusqu'à nos jours, la France en poussant Chadli benjedid à démissionner et à proclamer l'état d'urgence en annulant les élections que le FIS(front islamique du salut) semblait etre en mesure de gagner, l'Algérie plongera dans une guerre civile terrible mais ce que les gens ignorent tout à été planifié à Washington et sous traité au quatar et Arabie saoudite.

 Les combattants du FIS et de la GIA ont tous été formé par ces 2 pays arabes et d'autres furent des vétérans mercenaires de l'Afghanistan.....et cette recette ayant rapporté des bons résultats, elle s'applique maintenant dans tout pays Africain potentiellement riche du sol au sous-sol.
 La convoitise et la prédation de nos gisements miniers et la fertilité de nos sols poussent les Occidentaux à nous faire basculer dans un schéma absurde et aussi cette approche est la bonne car ils craignent aussi la présence Chinoise et ceux des BRICSA en Afrique alors imposons-leurs la menace islamique et ils s'en remettront à nous pour leur trouver la solution tel est la manière de pensée occidentale.

 Aujourd'hui, c'est le Nigeria qui est victime de cette cabale grâce à un groupe qui se fait appelé Boko Haram entretenu par les Etats-Unis d'après certaines personnes et hommes d'Etat Nigérian car le Nigéria voulait se tourner aussi vers la Chine pour essayer de s'en sortir de la main mise des occidentaux mais pour le punir, les faiseurs de pluie ont formé le Boko Haram dans le but de faire chanter ce grand pays.

 En prolongeant notre regard un peu plus loin, l'on se pose la question de savoir pourquoi maintenant les Séleka autre groupuscule "islamique" sont exfiltrés de la RCA vers la RDCongo? Et pourquoi encore les Mbororo ces soit disant nomades pasteurs Musulmans venus de je ne sais ou squattent depuis au moins 5 ans une partie de la Province Orientale en RDCongo et on fait de cette partie un califat ou ils convertissent aussi de force à l'aide de leurs kalachs hommes et femmes sans que personne n'en parle?
 Est-ce qu'après le Nigeria , ce n'est pas le tour du Kongo de vivre aussi une histoire islamico terroriste?

 Et demain ou iront tout les Combattants du Boko Haram après leur travail au Nigeria? certains diront qu'ils seront tous tués mais c'est faux car ils sont encore au service des occidentaux pour un moment or nous savons que la nature a horreur du vide, ils seront exfiltrés vers un pays faible .
 Et ainsi nous risquons de voir au Kongo, un Mokthar ben Mokthar ou Aboubacar S du boko haram squatter dans une partie de la République et faisant respecter sa loi dans l'interet de ses maitres.

 Pour conclure, je dirais open your mind car cette pseudo menace en Afrique n'est qu'un prétexte que les Occidentaux ont fait mûrir dans leurs officines pour nous maintenir esclave et ne pas avoir le choix de choisir une option autre pour notre épanouissement.(NSIALA ERIC)

dimanche 11 mai 2014

Boko Haram : Une opération secrète de la CIA au Nigéria

Depuis 3 ans, le Nigeria semble être la proie d’une  croissante et ingérable qui se manifeste par des  dans les lieux publics et des attaques sporadiques sur les institutions publiques ainsi que des  de civils et enlèvements de masse. On pouvait s’y attendre, il y a eu une panique et une tension croissante dans le pays et de plus en plus de personnes commencent à penser que le pays pourrait se diriger inévitablement vers une insurrection de longue haleine qui conduirait à une scission du pays. À l’exception du 1er attentat à la bombe en Octobre 2010 à Abuja, un groupe obscur qui porte le nom de Boko Haram a revendiqué la plupart des attentats ultérieurs qui ont eu lieu dans le pays.
Selon la Coalition GreenWhite, la campagne actuelle Boko Haram est une opération secrète organisée par la Central Intelligence Agency américaine, la CIA et coordonnée par l’ambassade étatsunienne au Nigeria.
Depuis quelque temps, la CIA a été en charge des camps d’entraînement et d’endoctrinement secrets le long des régions frontalières poreuses et vulnérables du , du  et du Cameroun. Lors des entraînements dans ces camps, des jeunes issus des milieux pauvres et démunis sont recrutés et formés pour servir les insurgés. Les agents qui instrumentalisent ces jeunes les attirent avec la promesse d’une meilleure vie et sont en outre endoctrinés pour leur faire croire qu’ils travaillent pour installer un ordre juste islamique contre l’ordre impie actuellement au pouvoir au Nigeria .
Les agents étatsuniens de ce projet de la CIA restent prudemment en arrière-plan, organisant les camps grâce à des superviseurs originaires du  spécialement recrutés à cette fin. Après plusieurs mois d’endoctrinement et de formation sur le maniement des armes, les tactiques de survie, de surveillance et les techniques d’, les insurgés sont maintenant mis en stand by pour la prochaine opération .
Le Nigeria, pays le plus peuplé d'Afrique et son premier producteur de pétrole, est de toute évidence systématiquement jeté dans le chaos et l'état de guerre civile.

Le Nigeria est aujourd'hui l'un des plus importants producteurs mondiaux de pétrole brut de haute qualité comme celui produit en Libye. Le pays montre tous les signes d'une spirale de violence l'affaiblissant profondément. Le Nigeria est le cinquième plus grand fournisseur de pétrole des États-Unis et douzième producteur de pétrole dans le monde sur un pied d'égalité avec le Koweït et juste derrière le Venezuela avec une production de plus de deux millions de barils par jour.
 http://le-blog-sam-la-touch.over-blog.com/2014/05/quand-les-etats-unis-predisaient-l-effondrement-du-nigeria-avant-2020-le-mystere-boko-haram.htmlui
En 2005, un rapport du Conseil national américain du renseignement prédisait que le Nigeria pourrait s'effondrer au cours des quinze prochaines années. Au train où vont les choses, avec la recrudescence des massacres terroristes commis par la secte Boko Haram  (oui c'est plus facile a prévoir lorsque onfinance ces boko haram hein), le nord du Nigeria semble plonger dans une instabilité croissante. Seulement voilà, on ne sait pas qui se cache derrière Boko Haram. Un article du New York Times, In Nigeria, Boko Haram Is Not the Problem, se demandait si Boko Haram était une unique entité où si il s'agissait d'un prête-nom utilisé par différents acteurs aux intérêts divergents. Le fait que le Nigeria ait fait appel aux Etats-Unis pour régler le problème de la violence au nord du Nigeria ne laisse pas forcément augurer du meilleur.

La question est de savoir qui se cache derrière Boko Haram et quels sont les intérêts sous-jacents. La main de la CIA avait déjà été évoquée Boko Haram: A CIA Covert Operation; America’s Destabilization Plots Against Nigeria–GreenWhite Coalition.
Les autorités du Nigeria ont-t-elles capitulé en refusant de régler le problème par elle-même et en faisant intervenir les services étatsuniens ?